Afin d’être “coaché” ou “accompagné”, le coaché doit tout d’abord avoir une demande, un objectif à atteindre : pas de demande… pas de coaching!!!
Dans une séance de coaching, le coaché va donc verbaliser ses problèmes et exprimer quel est son objectif à atteindre. Le coaching est pour lui une démarche réflexive sur lui-même, sur ses préoccupations. Le coaché va donc prendre du recul afin de réexaminer ses actions, ses motivations, ses valeurs et ses croyances.
Il va alors examiner la situation présente, ce qu’il vit. Puis il va exprimer ce qu’il vise. Pour cela il va mettre en place des actions. Il va donc prendre des décisions.
Poussé dans ses retranchements par le Formateur-Coach, le coaché va explorer des alternatives qu’il n’avait pas envisagées. Il va justifier ses prises de position.
Le coaché va, pendant ses séances de coaching, découvrir un sens à l’action ce qui va lui permettre d’enclencher le changement en dépit des incertitudes, des frustrations, des souffrances que cela peut représenter.
L’efficacité du coaching ne repose non pas sur un transfert de savoir du Formateur-Coach à son coaché, mais sur un processus de co-construction, une façon de réfléchir ensemble au problème de l’un prenant appui sur l’expertise de l’autre.
Il faut donc dès le départ qu’il existe un premier gage d’une mobilisation et d’une adhésion au contrat relationnel. Mais il faut avant tout une demande! Tout coaching réussi a pour base la demande du client.